Les règles qui encadrent le transport des marchandises dangereuses (TMD) sont nombreuses, parfois complexes, et assurément rigides. Saviez-vous que le TMD ne concerne pas seulement les tracteurs semi-remorques de 53 pieds et les camions-citernes? En effet, tout véhicule (ex. : voiture, camionnette, camion cube) qui transporte des matières dangereuses est, d’une manière ou d’une autre, régi par les réglementations canadienne et québécoise sur le TMD. Et s’il y a un sujet qui suscite des questions et interpelle les conducteurs, c’est bien celui des tunnels et des passages à niveau.

En atelier, la sécurité autour des batteries de véhicules électriques et hybrides (VEH) nécessite que les personnes soient bien formées, que les procédures spécialisées soient appliquées, mais aussi que les locaux soient bien adaptés aux différents types de tâches et aux urgences potentielles.

Une phrase revient trop souvent lorsqu’on parle de levage : « Trop fort, casse pas ». Cette croyance populaire, ancrée dans le quotidien de bien des travailleurs, donne l’impression qu’il suffit de surdimensionner une élingue pour garantir la sécurité. Pourtant, cette logique simpliste dissimule des risques bien réels. En levage, l’utilisation des élingues (de chaînes ou synthétiques), ce n’est pas seulement une question de résistance. C’est une question d’angles, de méthodes, de charges… et de compréhension.

Le déplacement des véhicules représente des risques à l’extérieur comme à l’intérieur des ateliers. Il y a entre autres des risques de collisions soit avec des collègues, des clients et même leurs enfants, des infrastructures ou d’autres véhicules. Ceci peut occasionner des accidents parfois graves, voire mortels. Afin d’éviter ceci, il faut d’abord effectuer une analyse de risques permettant de privilégier des correctifs adaptés aux risques présents et à l’environnement de travail.

Le chariot de transport de type « stockchaser » est un équipement de manutention compact, mais puissant, conçu pour faciliter le déplacement de charges dans les entrepôts. Malgré sa petite taille, il est capable de transporter des charges lourdes avec une grande maniabilité. 

Depuis plus de 20 ans, les automobiles électriques ont fait leur apparition sur les routes du Québec. Qui dit apparition, dit disparition tôt ou tard. C’est aux différents centres de recyclage automobile qu’incombe la responsabilité de se départir des pièces et composantes de ces véhicules. Le nombre de véhicules électriques accidentés ou en phase terminale était plutôt marginal jusqu’à récemment, mais avec un parc d’automobiles électriques grandissant, la réalité change et il faut savoir s’adapter. LKQ est un acteur important dans le domaine du recyclage automobile. Auto Prévention s’est entretenu avec Mario Arseneault et Sébastien Dion, deux gestionnaires de la succursale LKQ de Saint-Jean-sur-Richelieu, afin d’en savoir plus sur leur réalité quotidienne.